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  • Les collabos de l’immigration jettent le masque

    Sur l’affaire des “migrants”, en fait celle concernant les vagues d’immigrés illégaux à l’assaut de3203.jpgl’Europe, la grosse presse, largement subventionnée, gorgée d’argent public et de recettes publicitaires, nous sert jusqu’à la nausée son brouet libéral-libertaire, européiste, mondialiste et cosmopolite, celui que refusent un nombre croissant de lecteurs à mesure que croît le décalage entre ce que les Français y voient ou lisent et la réalité qu’ils perçoivent et vivent au quotidien. Il s’agit, bien entendu, selon nos grandes âmes par procuration, d’accueillir avec enthousiasme l’Autre, celui venu d’ailleurs, nimbé de toutes les vertus et paré de toutes les supériorités dont pourraient et même devraient se réjouir des peuples vieillissants et fatigués qu’ils auraient pour mission de régénérer. Heureusement, pour faire pièce à ce déferlement totalitaire d’un conte mièvre destiné aux esprits les plus fragiles, nombreuses sont les sources d’information alternative, sites internet, blogues et quelques courageux journaux résistants à opposer un autre son de cloche.

    L’épisode migratoire intensif subi par la France et un certain nombre de nations européennes et son aggravation subite depuis le mois d’août dernier ne doivent évidemment rien au hasard, pas plus que l’imposition foudroyante, y compris, hélas, dans les milieux hostiles à cette immigration illégale et qui devraient se garder de dangereuses dérives sémantiques, du terme “migrants” qui n’a rien à voir avec les tics langagiers que nous imposent régulièrement les media.

    Les milieux libéraux entonnent en chœur, avec la gauche, les refrains connus du déficit démographique qu’il convient de combler au plus vite, d’un système social qu’il nous faudrait consolider en accueillant la misère du monde — cherchez l’erreur —, de la nécessaire solidarité à mettre en œuvre et du grand cœur qu’il convient de porter en bandoulière tout en affichant une exaltation bienveillante devant un fléau de grande ampleur qu’il faudrait feindre de prendre pour une inégalable opportunité. C’est un véritable festival dans lequel il n’est pas toujours aisé au néophyte de distinguer les authentiques collabos des véritables tartufes. La télévision et la presse libérale comme de gauche, fidèles et dociles à leurs commanditaires aura une fois de plus joué son rôle, pilonnant sans répit, sans le moindre sens de la nuance.

    LA GROSSE PRESSE MOBILISÉE POUR UN VÉRITABLE LAVAGE DE CERVEAU

    Paris-Match, magazine à grand tirage reste l’un des titres-phare de l’empire de presse Hachette Filipacchi Media (HFM), filiale de Lagardère Active possédant des filiales aux États-Unis, au Japon, en Espagne et en Italie, éditant et commercialisant 260 titres dans 34 pays. Ce magazine grand public affichait en couverture de son numéro du 10 septembre une fillette au regard triste, tenant à la main un chapelet, islamique bien entendu, et juchée sur les épaules d’un père visiblement fourbu et le regard baissé, avec pour titre « Accueillez-nous . Le grand défi de l’Europe ». Pas moins de 24 pages étaient consacrées au problème des “migrants”, accompagnées de photos suggestives destinées à attendrir le chaland.

    La couverture du magazine Le Point ne faisait pas non plus vraiment dans la dentelle avec son gros plan sur le visage souriant d’Angela Merkel barré du titre « L’incroyable Madame Merkel. Si seulement elle était française… ». Il s’agissait alors de la Merkel 1, celle de l’ouverture inconditionnelle des frontières de l’Allemagne. On sait que l’hommasse teutonne, Merkel 2, se ravisa bien vite, quelques jours après, non en raison d’une quelconque velléité de bon sens ou d’intérêt national mais plus prosaïquement sous la pression de la partie la moins avachie de la population. Ses premières déclarations en faveur d’un accueil inconditionnel des immigrés illégaux avaient pourtant rencontré un large écho positif dans la population mais les nuées ne mirent pas longtemps à se dissiper et la réalité tangible de la submersion lui fit, en quelques jours, rétablir le contrôle aux frontières, nonobstant les laxistes accords de Schengen qui, depuis 1985, les suppriment au sein de la Communauté européenne.

    Quant à l’Obs, sa couverture du 3 septembre affiche sur fond noir le visage de Miran, présumé kurde iranien et restaurateur en France, barré d’une énorme titre manuscrit « J’ai été migrant ». Le dossier consacré au sujet constitue une véritable anthologie de témoignages d’immigrés à l’intégration irréprochable. Rien, ni personne n’y manque, de Zukhra, hôtesse d’accueil et étudiante en art, aux Maliens Cissé Seydou et Galadio Cissé, réciproquement épicier et restaurateur, en passant par Madina, tchétchène et traductrice et enfin Haytam, inscrit dans une classe préparatoire scientifique à Orsay, ce dernier ayant l’outrecuidance de déclarer : « c’est en France que j’ai découvert la pauvreté ». Il y a vraiment des ordres d’expulsion qui se perdent.

    Dans le journal économique Les Échos, propriété du milliardaire Bernard Arnault — première fortune de France et quatrième fortune mondiale —, dont le patrimoine professionnel seul est estimé à 35 milliards d’euros, le chroniqueur Éric Le Boucher s’en donne à cœur joie dans un article au titre prometteur : « L’immigration sera la chance de nos économies. » En bon laquais déférent de la ploutocratie, Éric Le Boucher nous assène ses vérités et surtout celles de ses maîtres. De but en blanc, il commence son article par un péremptoire « Les économistes ne sont jamais d’accord entre eux, sauf sur un sujet : les bienfaits de l’immigration. » Cette première phrase résume et donne le ton de l’article. Reprenant l’antienne des immigrationnistes, il relativise les chiffres, tempère les analyses et se veut rassurant en affirmant que « l’immigration apparaît “massive”, mais ne l’est pas tant que ça. On compte 230 millions d’immigrés dans une population mondiale de 7,2 milliards, soit 3,2 %. C’est peu ». Ce collabo de choc feint d’ignorer qu’une bonne partie de cette population mondiale n’accueille aucun immigré et que l’immigration de prédation converge essentiellement vers les économies les moins atones. Après avoir plaqué méthodiquement dans son billet l’essentiel des poncifs immigrationnistes, notre plume servile conclut que « tout cela devrait conduire à beaucoup relativiser l’angoisse d’invasion et, puisque l’immigration reste, somme toute gérable, à mener des actions de long terme pour profiter de ses bienfaits et éloigner ses inconvénients ». Il n’omet évidemment pas le mensonge éculé des vieux pays dont le système social a besoin d’être conforté par les immigrés. Gageons que ce rampant ne doit guère fréquenter les guichets des C.A.F., de la Sécurité sociale, ni du Pôle Emploi. Pas plus d’ailleurs que les mairies, les centres sociaux, les transports en commun, les hôpitaux et autres lieux où cet individu serait amené à réviser en accéléré ses belles certitudes remplacistes. Gloser sur l’immigration à Saint-Germain-des-Prés ou dans le seizième s’avère nettement plus plaisant et moins risqué.

    Réaliser un tour d’horizon complet de la grosse presse serait fastidieux et répétitif puisque une quasi-unanimité de celle-ci met en demeure nos contemporains d’ouvrir grandes les frontières et de profiter de cet horizon indépassable de félicité que représentent la submersion migratoire et la disparition de nos peuples autochtones. Les apôtres du suicide collectif semblent tout émoustillés et ragaillardis par le déferlement massif de la misère du monde aux quatre coins de l’Europe. […]

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  • Elle dénonce le salon salafiste de Pontoise, le patron du PS 95 demande son exclusion

    Rachid Temal, premier secrétaire fédéral du Parti socialiste du Val-d’Oise, réclame la tête de Céline Pina, une élue du département, annonce cette dernière dans un communiqué publié sur Facebook. Le patron départemental du PS lui reproche « d’avoir pris position concernant le salon salafiste » qui se tenait le week-end dernier à Pontoise, explique Céline Pina.

    Invitée le 15 septembre sur le plateau de RMC, la conseillère régionale a en effet dénoncé le caractère extrémiste du « Salon musulman du Val-d’Oise », et le silence des élus à ce propos. Face à ce salon, que l’élue qualifiait d’ »islamiste », « c’est silence radio chez tous les politiques de droite comme de gauche sur mon territoire [...] ce n’est pas admissible ». « Pourquoi un tel silence ? », s’interrogeait-elle, « ça me fait mal ».

    Céline Pina écrit : « Si c’est le droit le plus strict du Premier Fédéral de me trouver franchement urticante, il est dommage, en revanche, que les socialistes ne prennent pas la mesure du besoin de politique dont témoigne la cristallisation sur mon discours. »

    Samedi, lors du salon, deux Femen intervenues lors de la conférence de deux imams ont été violemment évacuées de la scène.

    L’Obs

    FDESOUCHE

  • Les maires sans-couilles s'en prennent à un maire qui défend la France et les Français

  • Catherine Deneuve, une penseuse politique ignorée

    Au sujet de la politique de Budapest qu'elle accusait "de violer les valeurs de l'Europe en posant des grillages qu'on ne ferait pas pour des animaux".

    "Je trouve ça scandaleux" ajoutait notre brillante analyste.

    "La Hongrie qui fait ces murs de barbelés alors que ces migrants ne font que passer. Personne n'a envie d'aller en Hongrie à notre époque. C'est vraiment incroyable de se conduire comme ça."

    Catherine Deneuve, le 2 septembre 2015

  • L'Union européenne organise la destruction des nations par submersion migratoire

    Mercredi dernier, au Parlement européen, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, soutenu par le Parti Socialiste et l'UMP, s'est livré à une véritable apologie de l'immigration massive. Le lendemain, les députés de gauche comme de droite ont approuvé un plan de répartition obligatoire des clandestins dans les différents pays membres de l'Union Européenne, lesquels se verront infliger une lourde amende s'ils refusent de s'y plier. Si l'on nous annonce que la France n'en accueillera "que" 24 000, il s'agit là d'une énorme imposture puisque l'Allemagne va offrir à elle seule l'hospitalité à 800 000 immigrés illégaux, et que l'espace Schengen, comme chacun le sait, permet à quiconque de se déplacer librement et de franchir les frontières intérieures qui n'ont plus d'existence que dans les mémoires.

    Cette décision est une catastrophe pour les peuples européens, comme pour les étrangers projetant de traverser les mers pour débarquer sur les îles grecques ou en Sicile. En créant un appel d'air supplémentaire, François Hollande, Angela Merkel, Jean-Claude Juncker, et la cohorte des irresponsables incitent en effet des populations entières à prendre des risques inconsidérés - au seul bénéfice des mafias, des milices, et des passeurs - pour venir s'installer sur notre continent et profiter, bien sûr, des avantages de notre système. Une politique d'autant plus criminelle et inhumaine que la France est à présent sommée de fournir logement, soins et nourriture à des clandestins, alors qu'elle ne parvient pas même à venir en aide à ses citoyens les plus précaires. Plus terrible encore, le risque que des djihadistes se fondent parmi ces masses de clandestins est élevé et largement sous-estimé par les autorités politiques, aussi bien nationales qu'européennes.

    Il faut d'urgence mettre fin à Schengen, retirer de notre droit la possibilité de régulariser les clandestins, abolir le droit du sol et fermer le robinet des aides sociales et médicales alors que les Français voient leur système d'assurance-maladie se désengager et s'effilocher jour après jour.

    Il est urgent de déchirer les chiffons de papier pondus par une Union européenne qui s'acharne contre le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes et s'intéresser en premier lieu aux collabos sans lesquels la situation actuelle aurait été impossible.

  • Guy Bedos devient enfin drôle....

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    Guy Bedos vous accueille chez lui
    Son adresse : 29 Rue Guynemer 75006 Paris.

  • un beau spécimen : Emmanuel Macron

    «L'arrivée de réfugiés est une opportunité économique»

    Emmanuel Macron (ex-banquier chez Rothschild, membre des « Young Leaders » de la French-American Foundation (comme François Hollande) et ministre de l’Économie du gouvernement Manuel Valls)