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La Collaboration couarde

  • Le préfet Delpuech s’attaque à l’« ultra-droite » car elle est contre le « vivre ensemble »

    Le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, était l’invité de Jean-Pierre Elkabbach ce lundi 26 novembre 2018 à 7h20 sur CNews. Dans un long entretien, le préfet de Paris a minimisé au maximum le rôle des éléments d’extrême gauche – qui avaient pourtant largement revendiqué leurs actes – tout en insistant sur le rôle présumé de militants d’une fumeuse « ultra-droite ». Et si Michel Delpuech brandit même la menace hallucinante d’une possible dissolution de certains groupes n’ayant eu aucun rôle dans les débordements de la manifestation des Gilets Jaunes, c’est avant tout car les militants identitaires seraient des réfractaires au « vivre ensemble » et donc à l’immigration. Très inquiétant.


    C’est Christine Tasin, via Riposte Laïque, qui reprend le verbatim de cet entretien absurdement déconnecté du réel. Le voici reproduit ci-dessous, à partir de 5 minutes 13 de la vidéo suivante.

    Delpuech : Les nostalgiques auraient aimé revivre le 6 février 34, il n’en a pas été question.

    Elkabbach Vous saviez qu’il allait y avoir des casseurs, vous direz quel type de casseurs, ils étaient probablement écoutés, ils sont repérés, identifiés… pourquoi ils sont pas bloqués au moment où ils entrent dans Paris ?

    Delpuech : Il faut bien voir qu’on est dans un État de droit, on n’est plus non plus dans le cadre de l’état d’urgence ; on nous dit « pourquoi ne pas interdire de manifester ?  » mais on n’est plus non plus dans ce cadre juridique. Ces individus qui sont proches de cette mouvance de l’ultra-droite sont en effet suivis par les services spécialisés, en province ou à Paris, mais s’ils ne font pas l’objet d’une mesure judiciaire d’interdiction d’aller et venir, il n’y a aucune raison de les empêcher…

    Et le bon serviteur du prince, Elkabbach, de susurrer : Il manque un outil juridique et judiciaire.

    Delpuech : On peut se poser la question. Ceci dit, ces groupes d’ultra-droite font l’objet par ailleurs de toute l’attention des services centraux et il n’est pas exclu qu’interviennent des décisions de dissolution de tel ou tel groupe.

    Elkabbach : Ce matin il y a un Conseil des ministres, on peut imaginer une décision de dissoudre

    Delpuech : C’est des dossiers qui se montent, c’est des dossiers qui s’argumentent, c’est des dossiers qui doivent se nourrir… la dissolution peut être la réponse juridique.

    Elkabbach : Et l’ultra-droite ou les black blocs aussi ? Parce qu’il y a l’ultra-gauche aussi…

    Delpuech : Ça n’a rien à voir comme vous le savez, ceux dont je vous parle, c’est des groupes qui sont d’ultra-droite, des groupes identitaires dont on connaît les slogans, qui sont des slogans racistes, des slogans qui rejettent le vivre-en-commun républicain, c’est cela ces groupes identitaires.

    Elkabbach : C‘est la rhétorique des principes ou vous les avez entendus pendant les manifestations ?

    Delpuech : Il y avait des slogans pendant la manifestation qui s’inspiraient clairement de ce type d’idéologie, oui.

    Elkabbach : Pourquoi et comment il a fait, monsieur Castaner ? A-t-il tout de suite repéré et dénoncé l’ultra-droite ? Comment ? À Partir de quoi ?

    Delpuech : Dès midi, parce que les premiers activistes qu’on a vus à l’œuvre étaient des activistes marqués par cette idéologie et appartenant sans aucun doute à ces groupes.

    Elkabbach : Sans aucun doute ? On le voit à l’œil ?

    Delpuech : On le voit, on voit leur visage, ils n’étaient pas, par exemple, dans la posture des black blocs qui se griment, qui mettent un casque, ou des cagoules… Et il y a des tactiques différentes. Les services de renseignement font leur métier.

    Elkabbach : Il n’y avait donc pas, absolument pas de blacks blocs gauchos ?

    Delpuech : En tout cas, il n’y en avait pas au début de la manifestation ; peut-être que certains sont arrivés pendant la manifestation puisqu’on a relevé des inscriptions du type « vive l’anarchie » et ça, c’est plutôt du côté de l’ultra-gauche. En tout cas, à la manœuvre, lorsque les faits de violence ont commencé, non ce n’étaient pas les black blocs.

    Elkabbach : Est-ce qu’il y avait des jeunes qui venaient des banlieues ?

    Delpuech : Écoutez, fort peu… parce que c’était une manifestation qui était provinciale et si je regarde les 103 interpellés, on se rend compte que plus des trois quarts, ce sont des personnes qui viennent des grandes villes de province, de manière un peu isolée. Donc, c’est pas des habitués du territoire parisien. À l’heure où je vous parle, nous avons déjà 45 de ces personnes interpellées qui ont été déférées à la justice.

    Elkabbach : Oui mais il n’y a pas d’ultra-droite là-dedans ; les responsables d’ultra-droite ont peut-être pu partir, ils sont plus malins que ça, en tout cas il n’y en a pas.

    Delpuech : C’est un peu ça mais je vous ai dit leur sociologie, l’essentiel vient de différentes villes de province. 2 étaient connus des services mais pour des faits plutôt de droit commun. Voilà les personnes qui se sont livrées à des violences et que nous avons interpellées.

    Elkabbach : Et qui ont lancé des slogans aussi ?

    Delpuech : Au moment de l’interpellation, pas nécessairement.

    Elkabbach : L’ultra-droite, c’est un groupe homogène ? Est-ce qu’ils ont des relations entre eux ?

    Delpuech : Oui, il y a des relations entre groupes, il y plusieurs groupes, il y a plusieurs orientations, non, c’est des groupes différents mais ce qui est partagé, c’est une forme d’idéologie, de nostalgie et de formes identitaires qui n’ont rien à voir avec les valeurs de la République.

    Elkabbach : Vous disiez ce matin que ce sont des séditieux ?

    Delpuech : On peut employer ce terme dès lors que l’on vise les institutions de la République. On pense à d’autres pages de notre Histoire.

    Elkabbach : Est-ce que ces séditieux sont influencés par le FN ?

    Delpuech (avec une moue évasive ) : En tout cas, je vois quelle est leur idéologie et le fossé qu’il y a entre cette idéologie et le vivre-ensemble républicain qui est le nôtre.

    Polemia

  • Eternel débat sur l'immigration avec un collabo de haute volée


    Écouter attentivement l'intervention de Laurent Pahpy, accessoirement membre de l'IREF (Institut de recherches économiques et fiscales) et pour ce qui nous intéresse, collabo de haute volée. Idéologie aveugle, couardise absolue et désir de plaire aux puissants ou désordre mental ? A chacun de se faire son opinion.

  • Vendée: la pratique musulmane augmente, la mairie de droite prête une salle de prière

    « Mise à disposition « gratuitement » par l’ancienne équipe municipale depuis 2009 (le maire était alors Marcel Albert (1995_2014) de l’UMP, parti dont les maires ont beaucoup aidé les constructions de mosquées), cette salle comprend deux pièces de 74 m2 . Les hommes prient en bas, tandis que l’étage est partagé entre l’espace réservé aux femmes et l’instruction de l’arabe à une quinzaine d’enfants.(…)
    Depuis plusieurs années, l’espace vient à manquer. En 2009, l’association ne comptait que « vingt » membres. Aujourd’hui ? « Presque 130 pour la prière du vendredi », continue le vieil homme. La plus chargée de la semaine, surtout en période de ramadan. « Certains hésitent même à aller à Cholet ou à La Roche-sur-Yon pour aller prier, regrette Tony. C’est malheureux ».

    En quête d’un endroit de 150 à 200 m2, l’association a déposé une offre pour une maison près de l’Église du Petit-Bourg, rue Nationale. Fin de non-recevoir de la mairie. » Lire l’article intégral sur Ouest-France

    Observatoire de l'islamisation

     

  • Le maire qui exige d’un habitant qu’il retire le drapeau français de sa maison s'appelle Guy Marty et il est socialiste

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  • Contre les Alpins, un procureur collabo

    Le 29 mars à Varces (Isère), c'est sur un groupe de chasseur alpins qu'un forcené a foncé à deux reprises, sans faire par miracle de blessés. Bien que l'homme (titulaire de 25 condamnations) ait hurlé "Allahou Akbar) et traité un soldat d'origine maghrébine de "fils de pute" et de "renégat", le procureur de la république Jean-Yves Coquillat a écarté la piste djihadiste, expliquant benoîtement qu'il fallait ramener cette affaire "à de plus justes proportions" car "on est tout au plus (sic) dans des violences avec armes et peut-être des menaces" et "pas du tout d'une tentative d'homicide". "Nous ne sommes pas dans une affaire de terrorisme, très clairement", a conclu ce haut magistrat dont il faut mémoriser le nom au cas où son protégé, élargi après une peine symbolique, commettrait un attentat sanglant.

    Présent

  • Des patrons de rédactions demandent aux écoles de journalisme: « Je veux un Noir », « Je voudrais un Mohamed avec un petit accent »… pour avoir un semblant de diversité

    Une des principales écoles de journalistes française qui supprime de ses éliminatoires toute épreuve écrite sur table : l’épisode révèle la prise de conscience d’une certaine inadaptation du profil des journalistes au nouveau paysage médiatique et aux nouveaux médias en général. Diversifier les profils de journalistes, il faut le faire. Mais comment et surtout pourquoi ? Est-ce pour avoir des médias moins monocolores idéologiquement et socialement ? Pour former des journalistes mieux adaptés aux nouveaux marchés et aux micro-médias très personnalisés qu’a fait éclore le numérique ? On en parle avec Gaspard Glanz, journaliste, fondateur de l’agence Taranis News ; Nassira El Moaddem, directrice du Bondy Blog ; Pierre Savary, directeur de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille ; et Julie Joly, directrice du Centre de Formation des Journalistes.


    CHANGEMENT RADICAL : VERS UNE DIVERSIFICATION DES JOURNALISTES ?


    Retour sur une mini révolution. Le centre de formation des journalistes casse son système de recrutement, jusqu’ici taillé sur mesure pour une élite et discriminant pour les catégories sociales les moins favorisées. On vous en parlait ici. Pourquoi ce changement radical ? Il est parti d’un constat. « Ceux qui avaient parfaitement réussi les QCM de culture générale, d’actualité et d’autres épreuves assez facilement bachotables, étaien…

    Arrêt sur images

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  • Les maires sans-couilles s'en prennent à un maire qui défend la France et les Français

  • Catherine Deneuve, une penseuse politique ignorée

    Au sujet de la politique de Budapest qu'elle accusait "de violer les valeurs de l'Europe en posant des grillages qu'on ne ferait pas pour des animaux".

    "Je trouve ça scandaleux" ajoutait notre brillante analyste.

    "La Hongrie qui fait ces murs de barbelés alors que ces migrants ne font que passer. Personne n'a envie d'aller en Hongrie à notre époque. C'est vraiment incroyable de se conduire comme ça."

    Catherine Deneuve, le 2 septembre 2015