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L'Union européenne organise la destruction des nations par submersion migratoire

Mercredi dernier, au Parlement européen, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, soutenu par le Parti Socialiste et l'UMP, s'est livré à une véritable apologie de l'immigration massive. Le lendemain, les députés de gauche comme de droite ont approuvé un plan de répartition obligatoire des clandestins dans les différents pays membres de l'Union Européenne, lesquels se verront infliger une lourde amende s'ils refusent de s'y plier. Si l'on nous annonce que la France n'en accueillera "que" 24 000, il s'agit là d'une énorme imposture puisque l'Allemagne va offrir à elle seule l'hospitalité à 800 000 immigrés illégaux, et que l'espace Schengen, comme chacun le sait, permet à quiconque de se déplacer librement et de franchir les frontières intérieures qui n'ont plus d'existence que dans les mémoires.

Cette décision est une catastrophe pour les peuples européens, comme pour les étrangers projetant de traverser les mers pour débarquer sur les îles grecques ou en Sicile. En créant un appel d'air supplémentaire, François Hollande, Angela Merkel, Jean-Claude Juncker, et la cohorte des irresponsables incitent en effet des populations entières à prendre des risques inconsidérés - au seul bénéfice des mafias, des milices, et des passeurs - pour venir s'installer sur notre continent et profiter, bien sûr, des avantages de notre système. Une politique d'autant plus criminelle et inhumaine que la France est à présent sommée de fournir logement, soins et nourriture à des clandestins, alors qu'elle ne parvient pas même à venir en aide à ses citoyens les plus précaires. Plus terrible encore, le risque que des djihadistes se fondent parmi ces masses de clandestins est élevé et largement sous-estimé par les autorités politiques, aussi bien nationales qu'européennes.

Il faut d'urgence mettre fin à Schengen, retirer de notre droit la possibilité de régulariser les clandestins, abolir le droit du sol et fermer le robinet des aides sociales et médicales alors que les Français voient leur système d'assurance-maladie se désengager et s'effilocher jour après jour.

Il est urgent de déchirer les chiffons de papier pondus par une Union européenne qui s'acharne contre le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes et s'intéresser en premier lieu aux collabos sans lesquels la situation actuelle aurait été impossible.

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