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La Collaboration alimentaire

  • Les extra-européens sont-ils surreprésentés dans la pub ? [Vidéo]

    Par Nicolas Faure, animateur du média Sunrise ♦ Les extra-européens sont-ils surreprésentés dans les publicités ? On voit souvent, sur les réseaux sociaux, des montages qui montrent des dizaines de publicités qui semblent démontrer cette surreprésentation. Un compte Twitter est d’ailleurs dédié à cette veille particulière.
    On sait aussi que de nombreuses marques à l’image pourtant théoriquement ultra-européenne (Barbour, Ralph Lauren, etc) ont radicalement changé leur communication.

    Alors, les extra-européens sont-ils vraiment plus nombreux dans les publicités que dans la réalité ? C’est ce qu’on va découvrir ensemble avec une étude menée par mes soins, avec le soutien de l’Observatoire du Journalisme (OJIM) et de la Fondation Polémia.

    Polemia

  • François Cluzet fustige Eric Zemmour “cet écrivain raté qui veut son heure de gloire” : lutter contre l’immigration va “à l’encontre de l’histoire, tout le monde sait que l’Homme est né en Afrique et il n’y est pas resté”

    Pauvre François Cluzet ! Traiter d'écrivain raté Eric Zemmour, l'écrivain précisément qui bat tous les records de tirage, c'est vraiment pitoyable. On savait que la haine rendait con mais il devrait quand même y avoir des limites...

    A sa décharge, nous savons que pour survivre dans le milieu du cinéma, il faut savoir envoyer régulièrement ses petits glaviots contre tout ce qui s'oppose, même subtilement, à la pensée unique. C'est le règne de l'hyper-conformisme.

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  • Le conseil municipal de Saint-Nazaire poursuit sa politique pro-immigration

    Le conseil municipal de Saint-Nazaire, réuni durant le mois d’octobre en séance plénière, a décidé de prolonger son subventionnement à l’association pro-immigration SOS Méditerranée. Déjà votée en 2020, cette subvention s’élève à hauteur de 60 000 euros durant le municipe. Sans surprise, ce vote a été acquis à l’unanimité : la majorité socialiste a voté pour, tout comme l’ « opposition » écologiste.

    Le Rassemblement national de la Loire-Atlantique rappelle son souhait résolu d’une restriction draconienne des flux migratoires. Il s’oppose au soutien des collectivités territoriales aux associations promouvant l’immigration. C’est d’ailleurs le sens de la procédure qu’il a entamé depuis 2020 contre la Mairie de Saint-Nazaire, en déposant un recours devant le tribunal administratif, pour faire annuler cette subvention.

  • Une cadre de la mairie LR du Touquet (62) contrôlée alors qu’elle venait de transporter des clandestins dans une ville voisine

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    Le 8 octobre, les gendarmes ont contrôlé une voiture appartenant à la mairie du Touquet qui venait de transporter des migrants dans la commune voisine de Merlimont, dans le Pas-de-Calais. Daniel Fasquelle, maire LR du Touquet, assure que cet incident est sans lien avec l’activité municipale.

    La scène se déroule le vendredi 8 octobre dernier, à Merlimont, petite commune située non loin du Touquet, dans le Pas-de-Calais. Selon nos informations, deux gendarmes mobilisés dans le cadre du dispositif mis en place pour lutter contre l’immigration illégale vers l’Angleterre procèdent au contrôle de deux véhicules qui viennent de déposer cinq clandestins rue Rose-Mousse, à quinze minutes à pied de la plage.

    Après relève des plaques d’immatriculation, l’un des deux véhicules contrôlés s’avère appartenir à la mairie du Touquet. La personne au volant de la voiture est Marie Bonvoisin, et se présente spontanément comme chargée de communication auprès du maire LR Daniel Fasquelle. Le conjoint de celle-ci est par ailleurs membre de l’équipe municipale. Les gendarmes ont par la suite auditionné Marie Bonvoisin durant la semaine du 11 octobre.

     

    Fdesouche

  • Fabien Roussel veut rendre inéligibles les personnes condamnées pour racisme ou incitation à la haine raciale, comme Éric Zemmour. (AFP)

    FLASH – Fabien Roussel veut rendre inéligibles les personnes condamnées pour racisme ou incitation à la haine raciale, comme Éric Zemmour. (AFP)

  • Le préfet Delpuech s’attaque à l’« ultra-droite » car elle est contre le « vivre ensemble »

    Le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, était l’invité de Jean-Pierre Elkabbach ce lundi 26 novembre 2018 à 7h20 sur CNews. Dans un long entretien, le préfet de Paris a minimisé au maximum le rôle des éléments d’extrême gauche – qui avaient pourtant largement revendiqué leurs actes – tout en insistant sur le rôle présumé de militants d’une fumeuse « ultra-droite ». Et si Michel Delpuech brandit même la menace hallucinante d’une possible dissolution de certains groupes n’ayant eu aucun rôle dans les débordements de la manifestation des Gilets Jaunes, c’est avant tout car les militants identitaires seraient des réfractaires au « vivre ensemble » et donc à l’immigration. Très inquiétant.


    C’est Christine Tasin, via Riposte Laïque, qui reprend le verbatim de cet entretien absurdement déconnecté du réel. Le voici reproduit ci-dessous, à partir de 5 minutes 13 de la vidéo suivante.

    Delpuech : Les nostalgiques auraient aimé revivre le 6 février 34, il n’en a pas été question.

    Elkabbach Vous saviez qu’il allait y avoir des casseurs, vous direz quel type de casseurs, ils étaient probablement écoutés, ils sont repérés, identifiés… pourquoi ils sont pas bloqués au moment où ils entrent dans Paris ?

    Delpuech : Il faut bien voir qu’on est dans un État de droit, on n’est plus non plus dans le cadre de l’état d’urgence ; on nous dit « pourquoi ne pas interdire de manifester ?  » mais on n’est plus non plus dans ce cadre juridique. Ces individus qui sont proches de cette mouvance de l’ultra-droite sont en effet suivis par les services spécialisés, en province ou à Paris, mais s’ils ne font pas l’objet d’une mesure judiciaire d’interdiction d’aller et venir, il n’y a aucune raison de les empêcher…

    Et le bon serviteur du prince, Elkabbach, de susurrer : Il manque un outil juridique et judiciaire.

    Delpuech : On peut se poser la question. Ceci dit, ces groupes d’ultra-droite font l’objet par ailleurs de toute l’attention des services centraux et il n’est pas exclu qu’interviennent des décisions de dissolution de tel ou tel groupe.

    Elkabbach : Ce matin il y a un Conseil des ministres, on peut imaginer une décision de dissoudre

    Delpuech : C’est des dossiers qui se montent, c’est des dossiers qui s’argumentent, c’est des dossiers qui doivent se nourrir… la dissolution peut être la réponse juridique.

    Elkabbach : Et l’ultra-droite ou les black blocs aussi ? Parce qu’il y a l’ultra-gauche aussi…

    Delpuech : Ça n’a rien à voir comme vous le savez, ceux dont je vous parle, c’est des groupes qui sont d’ultra-droite, des groupes identitaires dont on connaît les slogans, qui sont des slogans racistes, des slogans qui rejettent le vivre-en-commun républicain, c’est cela ces groupes identitaires.

    Elkabbach : C‘est la rhétorique des principes ou vous les avez entendus pendant les manifestations ?

    Delpuech : Il y avait des slogans pendant la manifestation qui s’inspiraient clairement de ce type d’idéologie, oui.

    Elkabbach : Pourquoi et comment il a fait, monsieur Castaner ? A-t-il tout de suite repéré et dénoncé l’ultra-droite ? Comment ? À Partir de quoi ?

    Delpuech : Dès midi, parce que les premiers activistes qu’on a vus à l’œuvre étaient des activistes marqués par cette idéologie et appartenant sans aucun doute à ces groupes.

    Elkabbach : Sans aucun doute ? On le voit à l’œil ?

    Delpuech : On le voit, on voit leur visage, ils n’étaient pas, par exemple, dans la posture des black blocs qui se griment, qui mettent un casque, ou des cagoules… Et il y a des tactiques différentes. Les services de renseignement font leur métier.

    Elkabbach : Il n’y avait donc pas, absolument pas de blacks blocs gauchos ?

    Delpuech : En tout cas, il n’y en avait pas au début de la manifestation ; peut-être que certains sont arrivés pendant la manifestation puisqu’on a relevé des inscriptions du type « vive l’anarchie » et ça, c’est plutôt du côté de l’ultra-gauche. En tout cas, à la manœuvre, lorsque les faits de violence ont commencé, non ce n’étaient pas les black blocs.

    Elkabbach : Est-ce qu’il y avait des jeunes qui venaient des banlieues ?

    Delpuech : Écoutez, fort peu… parce que c’était une manifestation qui était provinciale et si je regarde les 103 interpellés, on se rend compte que plus des trois quarts, ce sont des personnes qui viennent des grandes villes de province, de manière un peu isolée. Donc, c’est pas des habitués du territoire parisien. À l’heure où je vous parle, nous avons déjà 45 de ces personnes interpellées qui ont été déférées à la justice.

    Elkabbach : Oui mais il n’y a pas d’ultra-droite là-dedans ; les responsables d’ultra-droite ont peut-être pu partir, ils sont plus malins que ça, en tout cas il n’y en a pas.

    Delpuech : C’est un peu ça mais je vous ai dit leur sociologie, l’essentiel vient de différentes villes de province. 2 étaient connus des services mais pour des faits plutôt de droit commun. Voilà les personnes qui se sont livrées à des violences et que nous avons interpellées.

    Elkabbach : Et qui ont lancé des slogans aussi ?

    Delpuech : Au moment de l’interpellation, pas nécessairement.

    Elkabbach : L’ultra-droite, c’est un groupe homogène ? Est-ce qu’ils ont des relations entre eux ?

    Delpuech : Oui, il y a des relations entre groupes, il y plusieurs groupes, il y a plusieurs orientations, non, c’est des groupes différents mais ce qui est partagé, c’est une forme d’idéologie, de nostalgie et de formes identitaires qui n’ont rien à voir avec les valeurs de la République.

    Elkabbach : Vous disiez ce matin que ce sont des séditieux ?

    Delpuech : On peut employer ce terme dès lors que l’on vise les institutions de la République. On pense à d’autres pages de notre Histoire.

    Elkabbach : Est-ce que ces séditieux sont influencés par le FN ?

    Delpuech (avec une moue évasive ) : En tout cas, je vois quelle est leur idéologie et le fossé qu’il y a entre cette idéologie et le vivre-ensemble républicain qui est le nôtre.

    Polemia