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La Collaboration alimentaire - Page 2

  • Johanna Rolland, maire de Nantes, et l'association L'Aurore favorisent l'implantation d'allogènes

    Communiqué du Rassemblement National :

    Pas d'immigrés clandestins à Saint-Brevin-les-Pins. Réémigration !

    Nous apprenons l'arrivée discrète, ce vendredi matin à Saint-Brevin-les-Pins, de cinquante-quatre immigrés clandestins originaires de pays d'Afrique, aidés par la maire de Nantes, Johanna Rolland, et accueillis par l'association L'Aurore. Ces hommes ne sont qu'une petite partie des près de sept cents clandestins ayant transité tout l'été à Nantes, square Daviais,et depuis le 20 septembre dernier dans des gymnases de la Ville. Quelques dizaines d'autres doivent également être transférées dans les jours à venir à Saint-Herblain.

    Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique rappelle son opposition ferme à toute implantation de clandestins dans le département. Qui plus est, ces nouveaux venus à Saint-Brevin viennent d'être logés dans une résidence de vacances du Centre communal d'action sociale (CCAS) appartenant à l'EDF — et donc à ses cotisants — tout comme il avait été procédé en septembre 2016 pour des clandestins de Calais. C'est un signal exécrable donné par des pouvoirs publics pourtant toujours prompts à déclarer s'intéresser au sort des Ligériens les plus nécessiteux, mais les privant d'infrastructures leur revenant de droit : gymnases, centres de vacances...

    L'Afrique est aux Africains, et Saint-Brevin est aux Brévinois. Pour ces jeunes hommes désœuvrés qui errent sur les plages de la Côte de Jade, il n'y a qu'une solution. C'est la réémigration !

  • Martine Aubry célèbre l'accueil de 42 pseudo-réfugiés soudanais à Lille

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    Vous vous souvenez de l’odyssée de l’Aquarius, ce navire qui, en juin 2018, était resté bloqué en mer pendant plusieurs jours, avec 629 migrants ? L’Italie et Malte avaient refusé qu’il accostât dans leurs ports, avant que l’Espagne ne l’accueillît : belle publicité pour le tout récent Premier ministre socialiste, qui appelait à travailler « pour une nouvelle Europe où les égoïsmes nationaux ne [prévaudraient] pas ». Quant à la France, tout en dénonçant le « cynisme » et l’« irresponsabilité » de Rome, elle avait trouvé mille prétextes pour expliquer que ce n’était pas à elle de gérer cette affaire, acceptant finalement de recevoir quelques dizaines de migrants, qui pourraient prétendre au statut de réfugiés.

    C’est fait ! Et l’on veut que ça se sache. Martine Aubry, lors d’une cérémonie officielle à la mairie de Lille, a déclaré devant quarante-deux Soudanais : « Nous savons ce que vous avez vécu […]. Vous êtes ici chez vous, vous êtes des Lillois, et nous sommes extrêmement heureux de vous avoir parmi nous. » Pas sûr que tous les Lillois soient aussi satisfaits qu’elle, mais cette ancienne dirigeante socialiste sur le déclin se devait de donner l’exemple.

    Afin de justifier le délai très raccourci pour leur accorder le statut de réfugié – qui leur permettra de recevoir une carte de résident pour dix ans –, le secrétaire général adjoint de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a précisé que « nous sommes allés au devant de la demande, en Espagne, entendre les demandeurs d’asile qui nous ont fait part des motifs pour lesquels ils avaient quitté leur pays, ce qui a permis de pré-instruire leurs dossiers ». Ils ont bien de la chance d’avoir obtenu un traitement de faveur !

    Jusqu’au préfet de la région, qui a cru bon de leur souhaiter la bienvenue en ces termes discutables : « La France qui vous accueille va vous paraître étrange, [face] à ceux qui vous accueillent les bras ouverts, il y a aussi ceux qui vous accueillent à bras fermés, mais la France est ainsi, aimez-la […] et cet amour, la France saura vous le rendre. » On croirait entendre la Conférence des évêques, séparant le bon grain de l’ivraie, les bons des mauvais Français, diront des esprits malintentionnés. Dans cette région où le Rassemblement national fait des scores importants, devinez qui sont les mauvais.

    Ce qu’il y a de révoltant, dans cette affaire, c’est son instrumentalisation. Pour des raisons qui ne sont pas toujours désintéressées, on s’édifie en modèle. Vous vous rendez compte, on a accueilli quarante-deux Soudanais, qui ne demandent qu’à s’intégrer ! Peut-être, mais ils ont apparemment été triés sur le volet. L’un d’eux, un étudiant, explique : « Je suis vraiment très heureux, c’est un jour très spécial pour moi. Je remercie tout le monde. Venir en France était mon rêve pour plusieurs raisons, pour l’éducation, le développement du pays, la technologie… » Était-il vraiment en danger dans son pays ?

    Quarante-deux réfugiés, qui ne posent pas de problème : cela valait la peine d’être exploité ! C’est facile, c’est pas cher et ça peut rapporter gros en notoriété, dans l’univers du politiquement correct. Les maires des petites bourgades auxquelles on a imposé, sans concertation, d’héberger des clandestins de Calais ne pratiquent sans doute pas une telle autosatisfaction. Car la question de l’immigration ne se réduit pas à quelques poignées de migrants qu’on accueille en grande pompe pour se donner bonne conscience (et donner mauvaise conscience aux autres) : c’est le phénomène d’une immigration incontrôlée contre lequel les autorités publiques, volontairement ou par impéritie, ne font rien, sinon se contenter de belles paroles.

    Philippe Kerlouan

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Affaire Mamoudou Gassama : les collabos s'en prennent à André Bercoff qui ose douter

    Mercredi matin, sur CNEWS, dans son émission «L’heure des pros», Pascal Praud avait notamment évoqué avec ses invités le « super-héros » Mamoudou Gassama. Autour de la table, le journaliste André Bercoff avait soulevé quelques questions troublantes, ce qui lui valut immédiatement d’être taxé de complotiste. La police de la pensée s’en est déjà mêlée et le CSA a ouvert une instruction !

    Toujours sur CNews, André Bercoff est ensuite revenu s’expliquer, cette fois dans l’émission de Morandini qui a bien entendu encore accusé André Bercoff d’être complotiste.

    Car, dans notre monde orwellien, le simple fait de se poser des questions, au lieu d’avaler sans réfléchir la version officielle, est déjà preuve de complotisme.

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  • A Compiègne, le maire LR finance le repas du Ramadan !

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    L'appel à la prière résonne dans le quartier colonisé du Clos-des-roses, à Compiègne. Mouhssine Assiz, en khamis, la longue tunique, et barbe drue, annonce ainsi le coucher du soleil et la rupture du jeûne. À 21h50, ce samedi 2 juin, l’Iftar, ce repas du soir pris durant le mois du Ramadan, peut débuter.

    « C’est comme un repas de quartier ; il n’y a pas d’acteurs religieux ; je suis moi-même un simple croyant, ingénieur, directeur d’une usine Saint-Gobain à Thourotte », précise ce trentenaire. À deux pas de lui, un bidon métallique fait office de barbecue, les tablées pour plus 200 convives sont dressées sur la place du marché, par une douzaine de jeunes gens. « Le deuxième service événementiel de Compiègne », loue Benjamin Belaïdi, à l’origine de la première édition.

    Ce dîner est soutenu par la municipalité : logo de la Ville sur les affiches, matériel communal mis à disposition, présence d’animateurs des quartiers, subventions aux associations organisatrices… Compiègne en fait-elle trop au regard de la loi de 1905, aux textes sur la laïcité et de la jurisprudence du conseil d’État ?

    « Pour Noël, c’est naturel de faire un repas. L’Iftar doit devenir aussi naturel. Pas seulement entre musulmans. L’an passé, une association catholique était présente », revendique Abdoulaye N’diagye, secrétaire de Jeunesse Avenir Doré, association née dans le quartier. « C’est plus culturel que cultuel », se dit convaincu Romain Rayez, membre de l’UDI et coprésident du Conseil de développement pour Compiègne.

    Un banal banquet républicain, alors ? Pas vraiment. Aux beignets et jus de bissap, concoctés par les mères de famille africaines, s’ajoutent, par exemple, les faitouts fumants de boulgour, cuisinés par les bénévoles de l’une des mosquées de Compiègne, celle des turcophones. À table, les convives échangent ainsi sur leurs pratiques religieuses : la prière à 23 heures à la mosquée, le dernier thé avalé juste avant les premières lueurs du jour, parfois les horaires du travail aménagés pour ce mois de carême…

    Et Mouhssine Assiz ne cache pas son espoir qu’un tel repas soit de nature « à montrer les vraies valeurs de l’islam ». Désir louable pour des croyants, mais assez peu neutre. « Je ne suis pas soumis à la neutralité. Je ne suis pas là en tant qu’agent du service public, mais comme militant associatif », argumente Benjamin Belaïdi, salarié municipal et déjà à l’origine d’une marche pro-Gaza et d’une collecte pour Barakacity, une ONG réputée salafiste.

    De son côté, le maire Philippe Marini (LR) banalise volontiers et la manifestation, et la contribution de la ville : « C’est une sorte de fête des voisins. La Ville rend service. C’est tout à fait justifié. » Et s’il n’était pas présent sur la place Baudelaire, samedi soir, c’était qu’il était à la mosquée, celle quai du Clos-des-roses. « L’imam m’invite, il a la courtoisie de le faire, j’y réponds. C’est pour manger un couscous et il est plutôt bon, en général », commente le maire sur le même ton patelin.

    Nous sommes partout

  • Vendée: la pratique musulmane augmente, la mairie de droite prête une salle de prière

    « Mise à disposition « gratuitement » par l’ancienne équipe municipale depuis 2009 (le maire était alors Marcel Albert (1995_2014) de l’UMP, parti dont les maires ont beaucoup aidé les constructions de mosquées), cette salle comprend deux pièces de 74 m2 . Les hommes prient en bas, tandis que l’étage est partagé entre l’espace réservé aux femmes et l’instruction de l’arabe à une quinzaine d’enfants.(…)
    Depuis plusieurs années, l’espace vient à manquer. En 2009, l’association ne comptait que « vingt » membres. Aujourd’hui ? « Presque 130 pour la prière du vendredi », continue le vieil homme. La plus chargée de la semaine, surtout en période de ramadan. « Certains hésitent même à aller à Cholet ou à La Roche-sur-Yon pour aller prier, regrette Tony. C’est malheureux ».

    En quête d’un endroit de 150 à 200 m2, l’association a déposé une offre pour une maison près de l’Église du Petit-Bourg, rue Nationale. Fin de non-recevoir de la mairie. » Lire l’article intégral sur Ouest-France

    Observatoire de l'islamisation

     

  • Le maire qui exige d’un habitant qu’il retire le drapeau français de sa maison s'appelle Guy Marty et il est socialiste

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