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  • Des patrons de rédactions demandent aux écoles de journalisme: « Je veux un Noir », « Je voudrais un Mohamed avec un petit accent »… pour avoir un semblant de diversité

    Une des principales écoles de journalistes française qui supprime de ses éliminatoires toute épreuve écrite sur table : l’épisode révèle la prise de conscience d’une certaine inadaptation du profil des journalistes au nouveau paysage médiatique et aux nouveaux médias en général. Diversifier les profils de journalistes, il faut le faire. Mais comment et surtout pourquoi ? Est-ce pour avoir des médias moins monocolores idéologiquement et socialement ? Pour former des journalistes mieux adaptés aux nouveaux marchés et aux micro-médias très personnalisés qu’a fait éclore le numérique ? On en parle avec Gaspard Glanz, journaliste, fondateur de l’agence Taranis News ; Nassira El Moaddem, directrice du Bondy Blog ; Pierre Savary, directeur de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille ; et Julie Joly, directrice du Centre de Formation des Journalistes.


    CHANGEMENT RADICAL : VERS UNE DIVERSIFICATION DES JOURNALISTES ?


    Retour sur une mini révolution. Le centre de formation des journalistes casse son système de recrutement, jusqu’ici taillé sur mesure pour une élite et discriminant pour les catégories sociales les moins favorisées. On vous en parlait ici. Pourquoi ce changement radical ? Il est parti d’un constat. « Ceux qui avaient parfaitement réussi les QCM de culture générale, d’actualité et d’autres épreuves assez facilement bachotables, étaien…

    Arrêt sur images

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  • Après le drame de Trèbes : Christophe Castaner veut « accueillir» les djihadistes français

    Lors du grand rendez-vous d'Europe 1 le 25 mars dernier, Christophe Castaner, secrétaire d'Etat auprès du premier ministre, chargé des relations avec le Parlement (et patron de LREM) a déclaré, à propos des djihadistes français restés en Syrie,qu'il valait mieux « les suivre, les accueillir, ...pour faire en sorte que l'on puisse identifier le risque ». Quand on songe que ces paroles ont été prononcées le surlendemain du drame de Trèbes (4 morts) on mesure encore une fois l'aveuglement de nos responsables: le tueur, bien que fiché S pour « radicalisation »(ainsi que sa compagne), n'avait pas été jugé dangereux par nos services de renseignement...