Lors du grand rendez-vous d'Europe 1 le 25 mars dernier, Christophe Castaner, secrétaire d'Etat auprès du premier ministre, chargé des relations avec le Parlement (et patron de LREM) a déclaré, à propos des djihadistes français restés en Syrie,qu'il valait mieux « les suivre, les accueillir, ...pour faire en sorte que l'on puisse identifier le risque ». Quand on songe que ces paroles ont été prononcées le surlendemain du drame de Trèbes (4 morts) on mesure encore une fois l'aveuglement de nos responsables: le tueur, bien que fiché S pour « radicalisation »(ainsi que sa compagne), n'avait pas été jugé dangereux par nos services de renseignement...