SOS racisme a annoncé mercredi dernier son intention de déposer plainte plainte contre X suite de la publication par le quotidien Le Progrès d'une double page mentionnant les nationalités impliquées dans la délinquance et la criminalité dans le département du Rhône.
L'association, immigrophile et donneuse de leçons juge l'article du quotidien nauséabond, qualificatif archi-usé et utilisé à toutes les sauces pour disqualifier tout ce qui va dans l'intérêt de nos concitoyens.
SOS racisme devrait donc déposer à Lyon une plainte contre X pour un prétendu fichage ethno-racial, de la diffamation raciale ou provocation à la haine raciale et à la discrimination (Ouf !). L'officine médiatique de l'antiracisme alimentaire indique également qu'elle va saisir la Commission Nationale Informatique et Liberté (Cnil) et le Défenseur des Droits.
L'organisation vise particulièrement une infographie intitulée "Délinquance, à chacun sa spécialité" associant à certains faits des nationalités ou catégories de population. Par exemple pour les cambriolages: "Géorgiens, Albanais, Roms, Gens du voyage, locaux (groupes des cités, toxicomanes, autres)".
Dénonçant une "lecture stigmatisante (autre terme très en vogue dans les milieux de la Collaboration), ultra violente et inadmissible pour les populations visées", SOS racisme rappelle que le fichage ethno-racial est interdit en France par la loi du 6 janvier 1978.